ATTENTION DANGER
J'ai rencontré le diable (escroquerie )
Elle se retrouve surendettée après une escroquerie - Ça commence aujourd'hui
Attention, aucun organisme de remboursement n'existe, ni en France, ni ailleurs
Attention, aucun organisme de remboursement n'existe, ni en France, ni ailleurs
Quitte à nous répéter, il est important de savoir qu'il n'y a jamais eu d organismes de dédommagement pour les victimes d'arnaques.
OUI on vous a trompés et abusés de votre naïveté et nous le comprenons tant sur le plan financier que psychologique.
OUI vous avez été menacé et la peur vous a obligé à envoyer de l argent mais vous l'avez fait de votre plein gré.
Un conseil : quand les menaces se font sentir, il faut de suite tout bloquer afin qu'il ne puisse plus se mettre en relation avec vous c'est la seule solution !
Les brouteurs sont partout sur le net et vous font croire n'importe quoi : déplacement professionnel, héritage, enfant malade...etc..., nous savons que beaucoup de victimes en plein désarroi peuvent croire à cela mais NON c'est encore une arnaque, un scénario type, inventé de toutes pièces pour vider votre compte en banque ! Bloquez tout !
Nous sommes là pour vous aider à ne pas tomber dans leur piège, ou à en sortir si vous êtes en proie à un brouteur.
Croyez nous, ils sont nombreux et envahissent les réseaux sociaux avec multitude de photos volées. Gardez à l'esprit qu'il ne faut absolument pas envoyer de l'argent à quelqu'un que l'on n'a jamais vu.en vrai
ATTENTION MES DAMES NE TOMBER PAS AMOUREUSE D'UNE PHOTO DANGER
A Paris, la police alerte sur une arnaque à la carte bancaire à l'approche de Noël
https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/a-paris-la-police-alerte-sur-une-arnaque-a-la-carte-bancaire-a-l-approche-de-noel_55319095.html
Une arnaque en vogue actuellement à Paris peut fortement gâcher les fêtes de Noël. Attention, celle-ci n'a pas lieu via internet mais directement à la sortie des magasins.
Une arnaque qui peut gâcher les fêtes de Noël
A Paris, à quelques semaines de Noël, les magasins vont faire le plein de clients désireux de faire leurs emplettes pour les fêtes de fin d’année. C’est en sortant de ces magasins que le risque est élevé selon la préfecture de police.
Un faux employé de commerce peut alors aborder les clients. Prétextant une erreur de paiement, il tend alors un terminal et s’enfuit avec la carte bancaire.
attention beaucoup de fraude ne tomber pas dans le piege
https://www.tf1info.fr/high-tech/25-ampoules-led-pour-un-euro-par-edf-attention-a-ce-mail-frauduleux-2237725.html?fbclid=IwAR3g-St7KZ6YWP_rgAdwWbgYpIGvW0LAX9TomN3tgzty_K0nbCoaaxo_Cwo
Profitant du contexte marqué par la flambée des prix de l’énergie, des escrocs se font passer pour EDF afin de récupérer vos informations bancaires. Depuis quelques jours, un courrier électronique frauduleux proposant de recevoir 25 ampoules LED pour seulement 1 euro circule sur le web, rapporte un article en ligne de nos confrères de La Voix du Nord. La méfiance est de mise : il s'agit d'une arnaque !
Le quotidien régional décrit en détail, capture d'écran à l'appui, le contenu de ce courrier électronique frauduleux reprenant à l'identique la charte graphique du fournisseur d'électricité. Le message laisse entendre qu’"à partir du 1er novembre, les ampoules halogènes seront interdites à la vente en Europe, jugées trop gourmandes en énergie". Un changement qui ferait suite "une directive européenne de 2022", est-il précisé. Rappelons au passage que l’interdiction de vente remonte au 1er septembre 2018, ndlr).
S'en suit alors une proposition pour le moins séduisante. "Suite à cette décision, est-il écrit comme le relatent nos confrères, EDF vous propose de recevoir 25 ampoules LED à économie d’énergie", le tout pour seulement "un euro de livraison". Pour bénéficier de l’offre, évidemment, il faut entrer ses données bancaires. Et c’est justement l’objectif des escrocs qui se cachent derrière ce mail frauduleux en utilisant ce qu’on appelle du "phishing" (ou hameçonnage, en français).
Si vous recevez cet e-mail frauduleux de message, ne donnez pas suite. Pour rappel, EDF ne vous enverra jamais un courrier électronique pour vous demander de communiquer vos coordonnées bancaires. En revanche, vous pouvez effectuer un signalement le sur la plateforme cybermalveillance.gouv.fr, de manière à aider les autorités à identifier les escrocs qui se cachent derrière cette arnaque. Si vous avez communiqué par mégarde vos informations bancaires, contactez votre banque sans attendre et faite opposition à votre carte.
CHANTAGES SUR INTERNET : QUI SE CACHE DERRIÈRE CES ARNAQUES ?
Les escroqueries sur le web font de nombreuses victimes. Une cybercriminalité difficile à combattre car elle est souvent basée à l'étranger.
On les appelle les "pièges de l'amour", ou encore la "fraude 419", du numéro de l'article du code nigérian sanctionnant ce type d'arnaque. Des escroqueries qui ont toutes pour point commun de se dérouler sur la toile et de chercher à soutirer de grosses sommes d'argent à des internautes.
C'est ce qui est arrivé à Gauthier, 18 ans. Cet adolescent s'est suicidé après avoir été piégé sur le web par une prétendue jeune fille avec laquelle il dialoguait. Au cours de leur conversation, elle lui demande de se dévêtir et enregistre la vidéo compromettante, menaçant de la diffuser s'il ne lui versait pas de l'argent. Pris de panique, Gauthier se pend au domicile familial et décède de ses blessures une semaine plus tard.
Les enquêteurs ont découvert que l'escroc se trouvait en réalité en Côte-d'Ivoire, dans un cyber-café. A partir de là, difficile de remonter la piste. Un obstacle auxquels les enquêteurs sont très souvent confrontés : la Côte-d'Ivoire est l'un des pays comportant le plus de cybercriminels.
Menaces et promesses de gains
Les arnaques se présentent sous différentes formes, à travers des e-mails, des sites de rencontre, des sites de loterie ou des fausses offres d'emploi. Parfois, ce sont des promesses d'argent qui sont faites pour appâter la victime. Pour toucher le gain promis, il faut verser de l'argent au préalable. Une somme correspondant à des frais de transfert…fictifs.
D'autres fois, ce sont des menaces qui conduisent la victime à se faire soutirer de l'argent, comme pour Gauthier, pris au piège.
Enfin, ce sont parfois des jeux de séduction qui amènent la personne à verser de grosses sommes, pour faire venir l'âme sœur auprès d'elle. Celle-ci n'arrive jamais. Elle n'existe d'ailleurs même pas.
ATTENTION CECI EST UNE ARNAQUE
Ils vivent de la "sextorsion", du chantage à la webcam : "Complément d'enquête" a rencontré des "brouteurs" à Abidjan
https://www.francetvinfo.fr/internet/securite-sur-internet/cyberattaques/video-ils-vivent-de-la-sextorsion-du-chantage-a-la-webcam-complement-d-enquete-a-rencontre-des-brouteurs-a-abidjan_4805849.html
mettre ce lien sur google pour voir cette vidéo (a voir )
Sexe, arnaque et vidéos : "Complément d'enquête" a remonté les filières des professionnels de l'escroquerie en ligne. Certains, basés à l'étranger, agissent en toute impunité. Cet extrait nous emmène à Abidjan, à la rencontre de "brouteurs".
"Brouteurs" : en Côte d'Ivoire, c'est le surnom donné aux cyber-escrocs locaux, aux "maîtres-chanteurs 2.0". Car comme les moutons, ils se nourriraient sans trop d'efforts. Sur une plage de la capitale économique du pays, l'un d'entre eux a accepté de dévoiler ses techniques – à condition de rester anonyme.
Celui que nous appellerons "Adama" a 27 ans. Le matin, il travaille pour les pêcheurs, une activité qui ne les fait pas vivre, lui et sa famille. Alors ses après-midi, il les réserve à d'autres poissons – de "gros poissons" qui lui font gagner, dit-il, plusieurs centaines d'euros par mois. Dans ce pays où le salaire moyen est de 120 euros mensuels, la cybercriminalité a explosé ces vingt dernières années.
Les "brouteurs" procèdent depuis les cybercafés, mais aussi dans la rue sur un smartphone, ou même depuis la maison familiale. C'est dans son salon qu'Adama va rejoindre deux amis. Via un réseau social, ils sont entrés en contact avec une femme belge. Ils sont en train d'élaborer une stratégie pour la séduire et lui soutirer de l'argent. Elle leur écrit en flamand, mais grâce au traducteur automatique en ligne, ce n'est pas un problème. Celle qu'ils appellent "ma douce" n'y voit que du feu.
Fausses identités avec photos et vidéos volées sur les réseaux sociaux
Pour mieux manipuler leurs cibles, ils se fabriquent de fausses identités avec des photos volées sur les réseaux sociaux. Avec enfant si possible, "mignon" de préférence. Mais le mieux, pour inspirer confiance à l'interlocuteur, est encore l'appel vidéo – avec une vidéo elle aussi volée sur le net. Dans leur stock, ils en ont trouvé une qui peut correspondre à leur faux profil. Leur proie belge croira dialoguer avec un quadragénaire brun. Elle ne répond pas... ils réessaieront plus tard.
Adama a plusieurs comptes Gmail, dont un réservé à ses proies masculines, où il se fait appeler "Maria". Deux jours auparavant, le trio a fait chanter un Français, après l'avoir appâté avec une vidéo sexy. "Le but, c'est de l'exciter pour qu'il puisse se masturber, explique le "brouteur". Une fois qu'il commence à se masturber, nous, on ne fait qu'enregistrer la vidéo. Je prends juste quelques secondes, 15 secondes, 10 secondes, c'est suffisant." Puis la vidéo lui est envoyée, avec les noms de quelques-uns de ses contacts sur Facebook : femme, enfants, amis proches, collègues de travail.
"Je lui dis que s'il n'envoie pas de l'argent dans les minutes qui suivent, je vais publier la vidéo, l'envoyer à ses amis, à ses enfants, et à sa femme aussi"
"Adama", un "brouteur" d'Abidjanà "Complément d'enquête"
"Comme il est effrayé, continue le maître-chanteur, il cherche à savoir comment il faut faire pour m'envoyer de l'argent." L'homme a aussitôt payé 100 euros, et a promis d'en envoyer davantage dans les prochains jours. "Même s'il paye, on continue à le harceler. Chaque fois qu'il paye, à chaque fois, on demande plus. On le pousse à prendre un crédit à la banque ou à vendre des objets, pour qu'il puisse avoir de quoi nous envoyer." Et même si la victime pleure ou supplie, comme dans la plupart des cas, les "brouteurs" seront sans pitié...
Extrait de "Sexe, arnaques et vidéos : les nouveaux maîtres-chanteurs", un document à voir dans "Complément d'enquête"